faut pas s'étonner...
Nos piou-piou se font tirer comme des lapins en Afghanistan, c'est bien malheureux, mais cela n'a rien d'étonnant.
Car outre le fait qu'ils soient sous-équipés, comme l'avait dit le Canard depuis des semaines, et comme l'a confirmé un rapport de l'Otan publié dans un journal canadien cette semaine, nos soldats ont un entraînement, comment dire, assez peu adapté à l'hostilité talibane qu'ils risquent de rencontrer en Afghanistan.
En effet, des soldats de l'Aisne sont entraînés dans la nature (aaah, les crapahutages dans la boue!) mais avec des ennemis bien moins belliqueux: des moutons! (tiens, paye ton jeu de mots à deux francs: béééélliqueux, bref! )
Bon, ils ne s'entraînent pas franchement avec ces animaux laineux, mais ces petites bêtes sont utilisées pour débroussailler les terrains de crapahutage des militaires. C'est une histoire de respect de l'environnement et de la biodiversité.
Et ensuite, les soldats découvrent une autre biodiversité dans les montagnes afghanes, avec des populations moins enclines sans doute à la patience que les ovins aisnois.
Maintenant, il faut aussi entraîner les moutons à devenir des talibans armés, pour faire plus vrai!
Car outre le fait qu'ils soient sous-équipés, comme l'avait dit le Canard depuis des semaines, et comme l'a confirmé un rapport de l'Otan publié dans un journal canadien cette semaine, nos soldats ont un entraînement, comment dire, assez peu adapté à l'hostilité talibane qu'ils risquent de rencontrer en Afghanistan.
En effet, des soldats de l'Aisne sont entraînés dans la nature (aaah, les crapahutages dans la boue!) mais avec des ennemis bien moins belliqueux: des moutons! (tiens, paye ton jeu de mots à deux francs: béééélliqueux, bref! )
Bon, ils ne s'entraînent pas franchement avec ces animaux laineux, mais ces petites bêtes sont utilisées pour débroussailler les terrains de crapahutage des militaires. C'est une histoire de respect de l'environnement et de la biodiversité.
Et ensuite, les soldats découvrent une autre biodiversité dans les montagnes afghanes, avec des populations moins enclines sans doute à la patience que les ovins aisnois.
Maintenant, il faut aussi entraîner les moutons à devenir des talibans armés, pour faire plus vrai!